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Marcello-art : Livres Globe Troutter New Zealand - Aotearoa

Globe Troutter New Zealand - Aotearoa

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Date de parution estimative 10 décembre 2017
- format : 30x20 cm à lâitalienne
- impression sur papier couché mat 170g/m2 couverture rigide.
- 160 pages
- plus de 200 photographies couleurs et Noir et Blanc
- plus de 20 illustrations naturalistes 
- Français-anglais
La livraison est comprise.



« Ce livre est un magnifique hymne à la nature et plus particulièrement ici à celle où il reste encore des poissons et des rivières sauvages » Extrait de la préface de Nicolas Vanier
Zarn (Patrick Martin) pratique la pêche à la mouche en « no kill » et en globe-trotter, passant plusieurs mois par an dans les paysages somptueux et reculés de Nouvelle-Zélande, que parfois il est le seul à avoir arpentés. Câest au retour dâun périple avec son ami photographe Henri Pol que lâidée de faire un livre câest imposée. Étant moi-même pêcheur à la mouche et voyageur, câest tout naturellement quâils mâont proposé de faire la mise en page du livre Globe Troutter. Bien quâil contienne dans ses 160 pages environ 200 photographies des plus beaux paysages et poissons jamais pêchés à la mouche dans les rivières sauvages de Nouvelle-Zélande, nous avons voulu que ce livre ne sâadresse pas seulement aux passionnés de pêche. En effet mon goût pour lâobservation naturaliste mâa conduit à faire aussi de ce livre un carnet naturaliste comme jâaime à le faire, avec de nombreuses illustrations originales dâune des faunes endémiques les plus incroyables du monde.
Lâouvrage est imprimé aux imprimeries Escourbiac, France (une référence dans le Beau Livre qui dispose du label ImprimâVert et utilise du papier PEFC, issus de forêts gérées de façon durable).
⦠« Jâétais un petit peu gêné quand Nicolas mâa demandé de dire quelques mots sur Zarn, car je pense quâil y a dâautres pêcheurs qui le connaissent mieux : Yann, tous ses « potes de lâAin » comme il les appelle, et sans doute encore bien dâautres car câest un type à lâabord facile. Jâai accepté malgré tout car ça me fait plaisir, et après avoir passé quelques semaines avec lui à vadrouiller je pense que je le connais un peu.
Mais entrons dans le vif du sujet. Zarn est un extraterrestre, un vrai. Enfin je crois, mais comme câest à mon avis le seul que je connaisse personnellement je peux me tromper. Mais lisez plutôt.
C'est un poète. Un photographe. Un aventurier. Un pêcheur. Un voyageur. Un homme libre. Un fou.
Dans un monde de plus en plus piloté par le fric et l'égoïsme, dans un monde où les gens normaux passent leur temps à faire des concessions avec leurs rêves, à renoncer petit à petit à ce qu'ils aiment, par raison, par calcul ou par nécessité, il fait le contraire. Tout le contraire. Il va au bout de ses rêves, sans arrière-pensée, sans retenue. Certains donnent leur corps à la science, lui, il a donné sa vie à la pêche.
Avouons-le, nous sommes nombreux à envier sa liberté, ses merveilleux voyages, mais ne nous y trompons pas: assouvir sa passion sans concession a un prix. Les mois d'été passés à travailler pour pouvoir repartir. L'éloignement prolongé. La solitude, sans doute. Non, il n'y a rien de facile dans ces expéditions et dans les choix de vie qu'ils impliquent. Et tout ça pour quoi ? Pour pêcher à la mouche dans les plus beaux endroits du monde, car pour lui câest bien cela lâessentiel.
Ce qui le motive, bien sûr, c'est la pêche. Les plus beaux poissons. Les plus grands. Les plus rares. Les plus sauvages. Les plus éloignés. Ce sont ceux-là qu'il veut. Mais la prise n'est rien sans le cadre. Les bords de route, les réservoirs, les parcours sur pêchés, les casses tête techniques, il nous les laisse avec un grand sourire. 
Lui, ce quâil aime, câest l'espace. Une envie de pêche physique, de marche vers l'amont, lâamont d'une rivière sans fin, sur une Terre où seule la volonté du pêcheur ou le plaisir de la contemplation pourrait interrompre sa progression. Large ou étroite, de montagne ou de plaine, sur ces eaux le bonheur est toujours un méandre plus loin, et le plaisir de la capture n'est pas plus grand que celui de la découverte. Un vrai dévoreur dâespace, franchiseur de pierriers, de cols non balisés, voilà notre homme !
Infatigable, il faut lâêtre quand le vent se lève et quâil faut pousser encore quelques kilomètres pour aller voir ce petit affluent minuscule qui se cache, câest sûr, derrière cette dernière colline. Combien le feraient, après une journée de bredouille, devant une eau de neige, sous la pluie, avec le véhicule déjà si loin en aval ?
Il faut le voir s'enthousiasmer devant une carte, découvrant un possible passage vers la vallée d'une rivière perdue dans une forêt millénaire, imaginant le temps nécessaire à franchir ces quelques kilomètres le séparant du bonheur. Préparer les sacs. Replier la tente. Et partir! Partir se donner la chance de rencontrer l'inconnu. Partir à pied, enfoncer la porte de notre réalité pour se plonger dans la nature, trouver une eau vierge et des poissons aussi sauvages aujourdâhui quâhier, ou quâil y a mille ans.
Mais Zarn n'est pas pour autant un solitaire inaccessible. C'est même tout le contraire, même sâil a passé l'âge de vouloir être ami avec tout le monde. Le cÅur sur la main pour ceux qui partagent sincèrement sa passion, il est parfois déçu et nâapprécie pas vraiment ceux qui détournent la pêche à la mouche de son esprit originel et de sa simplicité, comme certains magazines ou commerçants. Un homme libre. Ah, jâoubliais : il pratique très naturellement le « catch and release ». Mais comment pourrait-il en être autrement quand on aime les truites autant que lui ?
Nicolas Pariset â¦
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